Pourquoi autoconsommer ? Parce que vous recherchez de l’autonomie, vous souhaitez réduire le coût de vos factures d’électricité, vous voulez valoriser votre patrimoine ou encore faire un geste pour la planète en luttant contre le réchauffement climatique en produisant votre énergie verte. Pour optimiser votre installation photovoltaïque et consommer un maximum de votre production, la solution est le stockage physique ou le stockage virtuel de votre surplus.
Le surplus
Le surplus est l’énergie que vous aurez produite mais que vous n’aurez pas consommée. En effet, on considère qu’avec une installation bien dimensionnée, une consommation intelligente et un suivi de votre production, la part d’autoconsommation est d’environ 65%. Les 35 % restant non utilisés représente le surplus.
4 solutions s’offrent alors à vous pour la gestion de ce surplus :
Le stockage virtuel permet de restituer l’énergie que vous avez produite mais pas consommée, car votre production était supérieur à votre demande, à un moment où vos modules photovoltaïque ne produisent pas ou peu (la nuit ou en cas de mauvais temps) ou dans le cas de figure où votre besoin énergétique est supérieur à votre production.
Le principe est simple. C’est grâce à votre Linky que le surplus réinjecté sur le réseau est comptabilisé, tel un « crédit d’énergie ». Lorsque vous aurez besoin d’électricité mais que votre installation photovoltaïque ne suffira ou ne produira pas, le complément ou la totalité de l’énergie sera débité de votre compte d’énergie. Une fois ce crédit épuisé, c’est le réseau qui prendra le relais. L’avantage de ce système est que l’énergie en réserve est illimitée dans le temps.
Pour plus d’information, vous pouvez consulter le site web d’Urban Solar ou nous contacter sur contact@tournesol.energy.
C’est Christophe SEBASTIEN Chargé du développement durable, Ancrage Territorial Local & Mobilité Électrique chez EDF CNPE Civaux qui à rédigé cet article paru dans la lettre de la mobilité électrique de Mai juin juillet 2020.
Le gestionnaire d’énergie photovoltaïque est un appareil indispensable pour optimiser votre installation d’autoconsommation d’énergie photovoltaïque et votre suiveur solaire Tournesol.
Comme vous le savez, les panneaux photovoltaïques ont besoin d’ensoleillement pour produire de l’énergie. Cependant, l’énergie solaire n’étant pas disponible vingt-quatre heures sur vingt-quatre, vous pouvez disposer d’un système de stockage par des batteries au plomb ou encore au lithium. Cette solution, très utile, peut en l’occurrence faire gonfler le coût de votre installation. Dans certains cas l’électricité produite est réinjectée gratuitement sur le réseau ou revendue à un fournisseur d’énergie, à un tarif inférieur à votre tarif d’achat du kilowattheure.
Afin de maximiser votre taux d’autoconsommation pendant les périodes de forte productivité d’énergie photovoltaïque, comme un ensoleillement maximum : les gestionnaires d’énergie photovoltaïque vont vous permettent de piloter votre installation électrique. La gestion sera automatique et à distance à l’aide d’applications smartphone, tablette …
Pour une maison intelligente
Vous allez ainsi pouvoir enclencher votre production d’eau chaude, votre électroménager (four, lave linge, lave vaisselle…), votre pompe à chaleur. Ou encore la pompe de la piscine et n’importe quelle source d’énergie via une prise de courant électrique. Vous pourrez donc aussi enclencher le chargeur de votre voiture électrique par exemple.
Quels sont les gestionnaires d’énergie photovoltaïque présents sur le marché ?
Il existe de nombreux acteurs sur le marché des gestionnaires d’énergie renouvelable à des coûts très différents. De quelques centaines d’euros pour les plus simples et à des tarifs plus élevés pour les plus sophistiqués.
Aujourd’hui, nous n’avons pas de partenariat privilégié avec ceux-ci donc nous vous avons préparé une liste non exhaustive des différents systèmes. Pour vous aider dans votre recherche et afin que vous puissiez vous faire votre propre idée. Sachez tout de même que simplicité est souvent gage d’efficacité et que tout dépendra aussi de la puissance crête installée de votre système photovoltaïque. Le but étant toujours le même: consommer un maximum de votre propre production d’électricité solaire.
Vous trouverez ci-dessous différents fabricants de gestionnaire d’énergie photovoltaïque spécialisés dans l’autoconsommation :
La mise en place et le raccordement des différents systèmes ci-dessus sont souvent relativement simples. Et elle ne nécessite pas forcément l’intervention d’un technicien. De plus, la plupart des modules sont équipés du wifi et les applications pour les piloter sont en général gratuites et sans abonnement.
Nous espérons que cet article aura pu vous aiguiller dans votre choix et les différentes possibilités d’installations que votre démarche soit écologique ou et économique.
L’équipe Tournesol reste à votre disposition pour toutes questions complémentaires afin de vous apporter les solutions les plus adaptées à vos besoins.
L’équipe Tournesol aura le plaisir de vous accueillir au salon de l’habitat & déco des Herbiers (Parc des expositions « Les ateliers ») du 14 février au 16 février 2020.
Venez découvrir sur le stand, notre Tournesol, suiveur solaire 2 axes 4 panneaux photovoltaïques, grandeur nature! Nous serons à votre disposition pour discuter de votre projet d’autoconsommation. Nous nous ferons un plaisir de répondre à vos questions d’ordre techniques sur les suiveurs solaires à savoir : l’ installation, la production, le fonctionnement, l’entretien, le coût, la différence entre Tournesol et des panneaux fixes sur un toit…Mais aussi vous orienter sur une solution adaptée de production d’énergie verte.
Le salon sera aussi l’occasion d’y découvrir des ateliers: cuisine et bien-être. Parmi la centaine d’exposants vous trouverez tout pour votre aménagement intérieur : ameublement, décoration, …et pour vos projets de construction ou rénovation.
L’entrée est gratuite. Nous vous accueillerons dès le vendredi 14 février 2020 à 14h00 jusqu’à 19H00. Puis le samedi 15 et le dimanche 16 février de 10h00 à 19h00.
Un panneau photovoltaïque est un assemblage de cellules photovoltaïques
Les panneaux photovoltaïques sont un assemblage de cellules photovoltaïques. Le composant principal est le silicium (extrait de la silice, très présente sur la planète). Deux électrodes sont positionnées de part et d’autre de ce silicium.
C’est Charles FRITTS, en 1883, qui a fabriqué la première cellule photovoltaïque. Il utilisait l’or et le sélénium (matériaux très coûteux). Le rendement était inférieur à 1% !
Les deux principaux types de cellules photovoltaïques
Premièrement, la cellule monocristalline est la plus performante (14 à 19%), de couleur foncée presque noire, la mieux adaptée aux rayonnements directs de la lumière et du soleil, mais plus onéreuse.
Deuxièmement, la cellule polycristalline. Elle est de couleur bleue et a un rendement moins bon que la cellule monocristalline. Elle est bien adaptée à la lumière ambiante et à une orientation imparfaite, elle est moins onéreuse que la cellule monocristalline.
Ces cellules sont assemblées en panneaux de différentes puissances et de différentes tailles. Aujourd’hui, un panneau « standard » a une dimension d’1,69 mètre x 0,98 mètre. Il est composé de 60 cellules et a une puissance de 300 Wc. Cependant, ce standard évolue vers des panneaux légèrement plus larges (1,046 mètres) dû à l’augmentation de leur puissance et du nombre de cellules (72 au lieu de 60). Nous commençons à trouver, chez les fabricants, des panneaux
photovoltaïques d’une puissance
supérieure à 300 Wc, voire 360 Wc.
Le coût d’un panneau photovoltaïque est non négligeable, d’ailleurs, plus il est important plus il sera performant et sa durée de vie sera longue, supérieur à 30 ans… Ensuite, l’énergie fournit sera gratuite, sans maintenance et sans pollution… Ceux qui participent à cet effort ont une démarche écologique et responsable pour la planète !
Le fonctionnement des panneaux photovoltaïques
Les cellules photovoltaïques exposées au rayonnement solaire
produisent de l’électricité, la production est proportionnelle à la puissance
lumineuse et à l’ensoleillement.
Alors pour adapter la production d’énergie électrique à vos besoins, il suffit d’augmenter le nombre de panneaux photovoltaïques.
Par exemple :
Si la puissance nécessaire à vos besoins est de 6 000
Wc (6 KWc) vous devez installer, sur votre toit, 20 panneaux de 300Wc, soit
environ une surface photovoltaïque de 35 m².
L’utilisation d’un tracker solaire (ou suiveur solaire) de 15 panneaux photovoltaïques peut également couvrir le besoin ci-dessus :
15 panneaux photovoltaïques de 300 Wc plus 40% de production
grâce au suivi du soleil, cela donne une puissance totale de 6 300 Wc soit une puissance supérieure de 300 Wc, avec
5 panneaux en moins.
Puis, le courant produit par les panneaux est du courant continu. Suivant l’installation, la tension de sortie peut être de 12 V, 24V ou 48 V. Enfin, pour obtenir ces différentes tensions, il faut « jouer » sur la mise en parallèle et la mise en série des panneaux photovoltaïques.
Enfin, le réseau électrique Français est en courant alternatif de 230 Volt, pour brancher les panneaux photovoltaïques sur le réseau, il faut utiliser un onduleur ou micro-onduleur qui transformera le courant continu en courant alternatif en 230 V.
Le recyclage des panneaux photovoltaïques
Le photovoltaïque, une énergie pas si verte que ça ?
FAUX. Aujourd’hui il faut moins de 2 ans à un panneau photovoltaïque pour
restituer l’énergie qui a été utile à sa fabrication.
Durant ces dernières années, la filière du photovoltaïque a beaucoup progressée en ce qui concerne le recyclage. Certains panneaux, appelés silicium cristallin, sont même recyclable à 100% !
En Juillet 2018, l’usine du Rousset, qui fait partie du groupe Veolia, est la première du genre en Europe. C’est au sein de cette infrastructure, basée près d’Aix en Provence, qu’on recycle aujourd’hui tous les panneaux photovoltaïques. Auparavant ils étaient envoyés en Belgique.
Comme nous l’avons décrit plus haut, différents matériaux composent les panneaux photovoltaïques, et ils sont recyclables (le cadre en aluminium, le boitier électrique, les câbles en cuivre, le verre, le plastique, les cellules). Une fois purifié le silicium sert de silicium métal. Puis on obtient de la laine de verre ou de l’abrasif grâce au fer contenu dans le verre solaire.
En 2017, cette usine a récoltée près de 2400 tonnes de panneaux solaire. Une fois pesé le panneau subit un décadrage : on lui retire alors son cadre en aluminium, son boitier électrique et ses câbles. Puis, le panneau est débité en petite tablette. Enfin, les différents éléments sont triés, on extrait alors les métaux, un tri optique est réalisé ce qui permet d’obtenir un verre pur.
Pour résumer, le recyclage des panneaux photovoltaïques permet de récupérer 75% du verre, 10% de plastique et 10% du silicium et des métaux, soit près de 95%.
Pour rester dans la compétition, les constructeurs n’ont pas d’autres choix que de présenter de nouveaux modèles de voitures électriques. Si quelques unes suffisaient à contenter les 31 000 acquéreurs de ce type de voiture en 2018, il en est autrement aujourd’hui. En France, sur les 11 premiers mois de l’année 2019, les véhicules électriques n’ont représentés qu’un peu moins de 2% des ventes de voitures neuves. Cependant, sur le premier semestre 2019 la part de marché des voitures électrique a progressée de 46%. Les demandes accroissent et les offres se multiplient. Elles s’adressent à un public plus large, les looks sont plus travaillés et ressemblent aux véhicules thermiques. Enfin, l’autonomie devient plus grande et suffisante pour les trajets quotidiens.
Les voitures électriques attendues en 2020
Les citadines
La Peugeot e-208, l’Opel corsa e, la Renault Zoé, l’Honda e, la Mercedes EQA, la Mini Cooper SE, la Seat Mii Electric, la Skoda CITIGO e iV et la Volkswagen e-Up!.
Les berlines
La Citroën C4 Avarvarii, la Hyundai IONIQ Electric, la Nissan Leaf et la Seat El-Born.
Les SUV
Le Peugeot e-2008, l’Opel Mokka-x-e, le BMW iX3, le Tesla Roadster, le DS3 Crossback E-Tense, l’Audi e-tron, le Ford Mustang Mach-E, le Mazda MX-30, le MG ZS EV, le Skoda Vision iV et le Volkswagen ID Crozz.
Les prestiges
L’Aston Martin Rapide E (future voiture de James Bond) , la Mercedes Van EQV, la Porsche Taycan, le Volvo Polestar, la BMW S et le Volvo XC40.
L’autonomie des voitures électriques
L’autonomie d’une voiture électrique qui est homologuée est mentionnée par « WLTP ». C’est-à-dire Worldwide harmoniezd Light vehicles Test Procedures (ces tests révèlent la consommation et l’autonomie). Si le sigle WLTP n’apparait pas, l’autonomie est indiquée avec la mention « estimation ».
Le coût des automobiles électriques versus automobiles thermiques
Aujourd’hui un véhicule électrique reste plus onéreux à l’achat qu’un véhicule thermique mais à l’usage c’est bel et bien les électriques qui l’emportent ! En effet, l’électricité est moins taxée et moins chère que le diesel ou l’essence.
« D’après nos mesures ISO 9001, malgré ses 204 ch, un Kona Electric vous coûtera à peine plus de 2,5 € tous les 100 km, au lieu de 8,5 € pour une version diesel 115 ch ou 11,5 € avec le trois-cylindres turbo-essence de 120 ch« .
De plus, n’oublions pas que l’entretien d’une voiture électrique est beaucoup moins coûteux.
La recharge des voitures électriques, où ça se passe ?
Recharger sa voiture électrique à domicile
95% des utilisateurs de voitures électriques la rechargent à domicile. Il existe deux modes de recharge chez soi, à l’aide d’une prise standard ou avec une wallbox. Sur une prise domestique standard il suffit de brancher le câble fourni avec la voiture. Avec cette option, qui est la plus économique, il est conseillé de faire vérifier son installation électrique par un professionnel pour éviter tout risque d’échauffement. En effet, un courant continue sera sollicité pour recharger votre voiture durant de longues heures. Cependant, une grande majorité des constructeurs recommandent d’utiliser une wallbox. Celle-ci permet une charge plus rapide, grâce à un courant de 16A contre 8 à 10 pour la prise standard. La recharge serait donc plus sécurisée. Pour vous équiper il vous faudra débourser entre 500 € et 1200 €.
La recharge de votre voiture électrique peut également se faire par une solution propre, l’énergie solaire par exemple. Tournesol notre suiveur solaire vous permettra de recharger en partie la batterie de votre voiture. Et donc de réaliser des économies tout en préservant notre planète.
Recharger sur les bornes publiques
L’application mobile ChargeMap répertorie toutes les bornes publiques. Ce mode de recharge représente 5% à 10 %. Pour la majorité de ces bornes elles sont accessibles grâce à une carte préalablement demandées aux collectivités ou commerces.
Le bonus écologique à l’achat de voitures électriques
Les nouveaux plafonds du bonus écologique seront applicables à partir du 1er janvier 2020. Ces aides seront fixées en fonction du prix de vente des automobiles électriques. Les modèles haut de gamme, supérieur à 60 000 € ne seront pas concernées par une aide financière.
Les acheteurs de véhicules électriques compris entre 45 000 € et 60 000 € se verront diminuer de moitié l’aide attribuée.
Enfin, la subvention de 6 000 € distribuée aux acquéreurs de voitures de moins de 45 000 € est maintenue. Ce qui signifie que la Leaf de chez Nissan ou la Zoe (les modèles les plus vendus aujourd’hui) restent concernés par le bonus à l’achat.
Alors, êtes-vous prêt à participer à la révolution verte ?
Du 3 au 8 juin 2019 a eu lieu la 6ème édition du Vendée Energie Tour 2019. Il a pour objectif de promouvoir la mobilité durable, les carburants alternatifs, les déplacements doux et les énergies renouvelables. Chaque année, il est organisé par le SyDEV (Syndicat Départemental d’Energie et d’équipement de la Vendée) avec le soutien du Conseil Départemental de la Vendée et des collectivités locales qui accueillent l’événement.
Le Vendée Energie Tour 2019 s’est déroulée en plusieurs événements majeurs. Tout d’abord, par une rencontre avec des propriétaires de véhicules électriques aux Brouzils. Puis la journée mobilité durable à Fontenay-le-Comte où entreprises et collectivités ont pu échanger sur ce thème. Et pour l’illustrer des véhicules électrique et bio-GNV ont été présentés. Par la suite les participants ont pu assister à une soirée cinéma-débat à la Ferrière animée par un spécialiste des raids en véhicules électriques (Atypik Travel Organisation). La manifestation s’est poursuivie par l’inauguration de la 2ème station GNV au Vendéopôle des Essarts. On a pu assister à la fête de la mobilité durable à La Roche/Yon. Puis en parallèle c’est déroulé le rallye des ambassadeurs et des initiatives durables.
Ces ambassadeurs possèdent un véhicule électrique, gaz ou hydrogène. Il ont parcouru un circuit de 120 kilomètres à partir de la Roche-sur-Yon. Le rallye était découpé en plusieurs étapes pour permettre aux équipages de visiter des projets sur le thème du développement durable. Et nous avons donc eu le plaisir d’accueillir 2 groupes d’ambassadeurs sur notre site « Tournesol » à Coëx.